Ordre de l'opération Bokassa (supprimé en 1979, mais son port est encore accepté)
Ordres ministériels / spécifiques
Ordre du Mérite Agricole
Ordre de l'Éducation Nationale
Ordre du Mérite Postal
Ordre du Mérite Industriel et Artisanal
Ordre du Mérite Commercial
Médailles
Étoile du Mérite Militaire
Croix de la Valeur Militaire
Médaille du Travail (or, argent et bronze)
Médaille des Mères (or, argent et bronze)
Médaille du Mérite Sportif (or, argent et bronze)
Médaille du Ministère de l'Intérieur
Médaille Misab Bangui
Médaille de bois précieux[Quoi ?]
Démographie
Article détaillé : Démographie de la République centrafricaine.
Famille centrafricaine.
Villes principales
La projection de la population urbaine des principales villes en 2015 est obtenue à partir des données du dernier recensement de la population.
Principales villes de Centrafrique
No
Nom
Préfecture
hab.
1
Bangui
Bangui
839 081
2
Bimbo, Bégoua
Ombella-M'Poko
180 643
3
Berbérati
Mambéré-Kadéï
95 840
4
Carnot
Mambéré-Kadéï
60 684
5
Bambari
Ouaka
53 835
6
Bouar
Nana-Mambéré
49 254
7
Bria
Haute-Kotto
45 993
8
Bossangoa
Ouham
44 492
9
Nola
Sangha-Mbaéré
40 614
10
Bangassou
Mbomou
39 611
11
Boda
Lobaye
31 295
12
Sibut
Kémo
29 892
13
Kaga-Bandoro
Nana-Grébizi
29 706
14
Mbaïki
Lobaye
26 774
15
Bozoum
Ouham-Pendé
25 640
16
Batangafo
Ouham
21 613
17
Paoua
Ouham-Pendé
20 227
18
Ippy
Ouaka
20 058
19
Bocaranga
Ouham-Pendé
19 111
20
Kabo
Ouham
18 471
Le recensement général de la population et de l'habitat (RGPH) effectué en 2003 a donné un nombre de 5 391 539 habitants :
femmes : 2 707 092 (50,21 %) ;
hommes : 2 684 447 (49,79 %) ;
jeunes de moins de 18 ans : 49,8 % ;
population en zone rurale : 3 349 224 (62,12 %) ; population en zone urbaine : 2 042 315 (37,88 %).
Les précédents recensements de 1975 et 1988 avaient quantifié la population respectivement à 2 056 000 habitants et 2 688 426 habitants.
Évolution de la démographie entre 1800 et 2021 (chiffre de la Our World in Data, 2022).
Depuis le début de 2007, de nombreuses organisations humanitaires non gouvernementales, de toutes obédiences et de tous pays, sont de retour en République centrafricaine, dans la foulée des historiques actions du réseau Caritas Internationalis ou de Médecins sans frontières. Les projets sont actuellement[Quand ?] priorisés sur l'éducation, le développement agricole et rural, le soutien aux populations déplacées ou migrantes, l'accès aux soins de santé primaire, et un peu de microfinance pour soutenir les initiatives locales créatrices de revenus.
Communautés
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Communauté peuhl de Sibut
Mbororos
En République centrafricaine, les Peuls Mbororos représentent sans doute plus de la moitié de la population musulmane du pays et vivent pour une majorité de l’élevage dans le monde rural et nomade mais il existe dans certaines régions leurs camps où ils s'installent pendant la saison humide. Une partie de la communauté musulmane est originaire du Cameroun et est arrivée dans les années 1920, d’autres sont venus du Tchad (sans doute originellement du Niger, voire du Nigeria) avant des migrations plus contemporaines à partir des années 1990. Les mbororos ou peulhs sont les peuples éleveurs de bœufs et ce sont eux qui ravitaillent la population banguissoise en viande de bœufs (la viande la plus consommée sur le territoire).
Langues
Article détaillé : Langues en République centrafricaine.
Les deux langues officielles de la République centrafricaine sont le français et le sango. Le pays compte plus de quatre-vingt ethnies parlant chacune des dialectes différents. Le sango, la langue véhiculaire, représente une vraie langue de communication, largement partagée dans le pays à l'époque de la colonisation française pour commercer et échanger. Il n'est cependant pas parlé par les populations du Nord, région à dominante musulmane. Le sango tire son origine dans la langue Ngbandji parlée par les peuples venus de la Libye situé à l’extrémité méridionale de la Haute-Égypte selon les rapports oraux de cette ethnie homogène et solidaire qu’on retrouve entre autres en République centrafricaine et en République démocratique du Congo. Après leur migration sur les rivières Oubangui et Mbomou, ils longent en majeure partie la rive gauche et s’étendent jusqu’à l’intérieur des terres. On peut noter entre autres les sous-groupes de cette ethnie qui sont les Yakoma, Sango, Dendi, Mbangui et Gbodo.
La République centrafricaine est membre de l'Organisation internationale de la francophonie de même que de l'Assemblée parlementaire de la francophonie.
Religions
Article détaillé : Religion en République centrafricaine.
D'après le recensement de 2003, les principales religions en République centrafricaine sont les suivantes : christianisme (80,3 %, dont protestantisme 51,4 % et catholicisme 28,9 %), islam (10,1 %), animisme (9,6 %). La République centrafricaine est un pays membre de l'Organisation de la coopération islamique.
Cathédrale Saint-Pierre-Claver, Bangassou.
Christianisme
L’Église évangélique baptiste en République centrafricaine est fondée en 1925. En 2016, elle compte 250 églises et 65 000 membres.
L’Église catholique est officiellement fondée en RCA en 1909. L'archidiocèse de Bangui est l'unique archidiocèse catholique en République centrafricaine. Son siège est à la cathédrale Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception de Bangui. En 2012 les Catholiques comptent 487 000 fidèles.
Les fidèles de l’Église Christianisme Prophétique en Afrique en pèlerinage (Janvier 2024)
Islam
Pour beaucoup de Centrafricains, le terme « musulman » renvoie essentiellement à son synonyme « tchadien », même si les Peuls Mbororos représentent sans doute plus de la moitié de la communauté musulmane.
Spécialisés dans le commerce et arrivés en plusieurs vagues de migration depuis l'époque coloniale, leurs enfants n’ont jamais été considérés comme Centrafricains même après plusieurs générations. La haine sociale de la population la plus modeste contre ces commerçants « profiteurs » et leur proximité avec le régime de François Bozizé ont contribué à leur mise à l'écart.
Éducation
École à Ngaoundaye.
Le système éducatif en République centrafricaine est calqué sur le modèle de la France. Il y a des disparités en ce qui concerne l'accès à l'éducation selon des critères sociaux et régionaux. On constate aussi un faible pourcentage de femmes dans le système scolaire. L’université de Bangui construite pendant le régime de Bokassa reste la seule qui fournisse un enseignement supérieur public. L'école est obligatoire depuis 2008[réf. souhaitée].
En septembre 2013, à cause de la situation sécuritaire, 60 % des écoles du pays étaient fermées.
Santé
Article détaillé : Santé en République centrafricaine.
Les principaux problèmes de santé du pays sont : la mortalité maternelle et infantile élevées, une prévalence élevée des maladies transmissibles (dont le VIH SIDA), la faible performance du système de santé et un financement du secteur fortement dépendant de l'aide extérieure.
En septembre 2013, on comptait sept chirurgiens pour l'ensemble du pays. À cause de la situation sécuritaire, la plupart des centres de santé sont fermés.
La capitale Bangui possède plusieurs hôpitaux dont le centre hospitalier Amitié, construit avec l'aide de fonds chinois, et l’hôpital communautaire.
Économie
Article détaillé : Économie de la République centrafricaine.
Évolution historique du PIB réel par habitant en République centrafricaine.
En République centrafricaine, le revenu par habitant est de 446 dollars en 2012. L'agriculture représente 50 % du PIB, et l'élevage à lui seul 12,7 %.
Le pays possède de nombreuses ressources naturelles, en commençant par des gisements d'aluminium, de cuivre, d’or, de diamant, d’uranium et des puits de pétrole,.
Agriculture et exploitation forestière
Récolte et conditionnement du manioc.
Les principales cultures sont le manioc (cassave), les bananes, le maïs, le café, le coton et le tabac,.
Le potentiel des sols est estimé à 15 millions d'hectares, (150 000 km2).
Le nord-ouest et le centre du pays représentent un bassin agricole important pour les cultures de coton et de canne à sucre. Toutefois, la faiblesse des infrastructures et du soutien à la production, qui reste majoritairement extensive, limite très fortement les rendements, très inférieurs à ceux des pays voisins. L'enclavement du pays demeure un handicap important.
En 2009, l’élevage s’appuie sur un cheptel d'environ 15 millions de têtes.
La République centrafricaine avait un score moyen de l'Indice d'intégrité du paysage forestier 2019 de 9,28, le classant septième sur 172 pays.
L'exploitation forestière contribue largement au PIB, avec d'importantes ressources en bois tropicaux. La forêt centrafricaine couvre une superficie de 3,8 millions d'hectares, (38 000 km2). Dès le début de la colonisation, on a exploité l'hévéa pour son latex, aujourd'hui les essences sont plus diversifiées. Les moins nobles sont transformées localement par une petite industrie de contreplaqués, tandis que les plus précieuses sont exportées sans transformation sous forme de grumes.
Hydrocarbures
Les premiers forages pétroliers sont réalisés au début des années 1980 par la compagnie pétrolière américaine Esso. Le président Patassé avait attribué un permis d'exploitation à la compagnie américaine Grynberg en 2000 mais celui-ci a expiré en 2004. Le gouvernement américain suit de près la situation sur place.
Le pétrole de Gordil, à la frontière tchadienne est concédé par le régime de François Bozizé en 2012 aux Chinois de la China National Petroleum Corporation,.
Un milliard de barils de pétrole seraient présents dans le sous-sol du pays, principalement au nord, près de la frontière avec le Tchad, certains experts parlant de jusqu’à 5 milliards de barils.
Quatre sites pétroliers prometteurs sont identifiés : Bagara, Doseo, Salamat et Doba/Bango.
Uranium
Dans les années 1960, un gisement de phosphates uranifères avait été découvert à Bakouma par le Commissariat français à l'énergie atomique. La Centrafrique posséderait environ 20 000 tonnes de réserves d'uranium.
Le groupe nucléaire Areva a signé en août 2008 avec le pouvoir de François Bozizé, un contrat de 18 milliards de Francs CFA (27 millions d’euros) sur 5 ans portant sur un projet du gisement d’uranium à Bakouma à 900 km au nord-est de Bangui.
Areva a cependant renoncé à l'exploiter en raison de l’insécurité et de la baisse mondiale du cours de l’uranium dû à l’accident nucléaire de Fukushima en 2011,.
Diamants
Carbonado du sud-ouest du pays.Exploitation manuelle d'une carrière de pierre.
La production de diamants alluvionnaires de très bonne qualité (diamants de joaillerie) s'établit à environ 500 000 carats bruts par an. La Centrafrique figure en quatrième ou cinquième place mondiale pour leur qualité.
La production réelle est difficile à estimer, au double environ ; il existe une contrebande importante dans ce secteur. La production, le commerce, ainsi que la taille des diamants, sont des activités qui font régulièrement l'objet de plans visant à les nationaliser, ou au contraire à les libéraliser. Les chefs d’État centrafricains ont toujours profité du diamant, Jean-Bedel Bokassa (1966-1979) les a utilisés à des fins diplomatiques comme lors de l'affaire des diamants avec le président français Giscard d'Estaing.
En 2013, la Centrafrique est suspendue du processus de Kimberley visant à lutter contre les diamants du sang,.
Industrie
Le tissu industriel, qui n'a jamais été très développé par rapport aux pays voisins comme le Cameroun par exemple, a souffert des troubles militaires et politiques successifs, et est aujourd'hui quasiment inexistant. Quelques industries développées dans les années 1970 (manufactures de tissus, de chaussures…) ont disparu. Il subsiste une production locale de bière et de transformation d'aluminium. Le secteur privé emploie environ 11 000 salariés.
Les services publics (eau, électricité, téléphone filaire…), monopoles publics, sont dans des situations financières difficiles, et les équipements, faute de maintenance et d'investissement, sont pour la plupart vétustes, entraînant des ruptures de service très fréquentes. Le poids important de la dette dans le budget national, et la faiblesse du niveau des ressources propres, rendent la gestion de l'État difficile (non-paiement de salaires des fonctionnaires, grèves et mouvements sociaux) et contribuent à la fragilité des institutions politiques.
Un cadre législatif anachronique voire inexistant, l'absence d'infrastructures de transport et forte corruption, caractérisent l'économie de la République centrafricaine, qui fait également partie d'institutions visant à l'intégration sous-régionale ou régionale comme la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC).
Braconnage et tourisme
La Centrafrique reste un des endroits de la planète où l'on trouve encore une flore et une faune très diversifiées, en particulier une population d'éléphants d'Afrique de forêt. Cette situation reste très fragile du fait du braconnage pour l'ivoire et de la consommation de viande de brousse, mais représente un potentiel cynégétique et d'écotourisme important. Le tourisme est peu développé, autant du fait de la faiblesse des infrastructures d'accueil et de transport que de la forte insécurité qui règne dans le pays.
Multinationales
Plusieurs multinationales sont présentes sur place dont Total, Bolloré, Castel, Areva, Orange,, ou Toyota.
Transport
Article détaillé : Transport en République centrafricaine.
Transport routier
Camions à Bangui.
Article détaillé : Liste des routes nationales de la République centrafricaine.
La circulation routière dans les provinces en République centrafricaine reste très difficile et très dangereuse car l'état des routes est trop dégradé et reste archaïque sans mesure de sécurité routière adéquate pour les usagers. Il y a souvent l’image de cette grappe humaine, d’hommes, femmes, et enfants et nourrissons agrippés en équilibre précaire au sommet des véhicules de transport de marchandises, victimes de nombreux accidents aux conséquences dramatiques. Un carnet de route avec photos apporte quelques informations.
Des difficultés de transport urbain et interurbain existent aussi dans le pays. La RCA disposait il y a quarante ans d’une société de transport centrafricain appelée SOTRECA. Compte tenu de l’étroitesse de sa flotte, elle n’a pas pu satisfaire les besoins de la population en matière de transports. Dix ans plus tard, la Compagnie Nationale de Transport (CNTR) a succédé à la SOTRECA, mais avec une durée de vie éphémère.
Pendant trente années, la RCA ne dispose pas d’une entreprise de transport urbain de personnes digne de ce nom. Pour combler ce vide et face à la situation qui devenait de plus en plus alarmante, l'État a créé en 2010 la SONATU ; une société d’État avec un capital social de 480 millions de francs CFA, une flotte de cent autobus qui assure un transport urbain (en commençant par Bangui et ses environs) et interurbain. C’est la société indienne Jaguar qui a doté la SONATU de ces autobus de fabrication indienne « A. Mazda » d'après les affirmations du consul de l'Inde à Bangui, Sakajit Jakati.
Transport aérien
Le principal aéroport du pays est celui de la capitale, l'aéroport Bangui M’poko.
Culture
Article détaillé : Culture de la République centrafricaine.
La culture centrafricaine est diversifiée entre les peuples et ethnies.
Femme Aka (pygmée ) dansant dans la forêt.Tenue en pagne centrafricain.
La plupart des Centrafricains (80 %) parlent des langues du groupe Adamaoua-Oubanguien de la famille nigéro-congolaise.
Au nord du pays vivent des populations parlant des langues nilo-sahariennes (les Sara par exemple). Dans les régions de savane de la RCA sont dispersées différentes communautés de Peuls nomades (Mbororo). L'immense majorité des Centrafricains n'est donc pas de culture bantoue.
Certaines ethnies minoritaires, vivant au sud-ouest du pays, sont cependant des Bantous, peuples communs au Congo et au Cameroun.
La population centrafricaine est subdivisée en une myriade de populations. Ainsi, chaque « grande » ville a son peuple, sa langue et une histoire récente liée aux personnalités politiques et hommes de pouvoir qui en sont issus.
Les Pygmées sont un peuple visiblement différent, de par leur gabarit, et leur culture de peuple de la forêt. Longtemps et massivement considérés comme des humains de seconde zone, ils ont préservé leurs habitudes et se maintiennent dans leur environnement, sans accès aux « progrès sociaux » minimaux qu'a vus le pays.
Enfin, avec des frontières arbitraires et poreuses, on retrouve tous les groupes des pays voisins. Ainsi, une part grandissante de la population, en particulier sur l'axe nord-sud courant du Tchad à la capitale, se rattache à la culture musulmane.
Fêtes et jours fériés
Fêtes et jours fériés,,,
Date
Nom français
Remarques
1er janvier
Nouvel an
Lundi après Pâques
Lundi de Pâques
29 mars
Décès du Fondateur Barthélémy Boganda
6e jeudi après Pâques
Ascension
Lundi après Pentecôte
Lundi de Pentecôte
1er mai
Fête du travail
Suivant calendrier
Fête des Mères
13 août
Fête de l'Indépendance
15 août
Assomption
1er novembre
Toussaint
1er décembre
Fête nationale, jour de défilé sur l’avenue des Martyrs
25 décembre
Noël
Monuments
Timbre représentant la cathédrale Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception de Bangui (1964).
Les mégalithes de Bouar soumis en 2006 pour être classés au patrimoine mondial de l'Unesco.
La cathédrale Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception de Bangui a été construite dans les années 1930.
Le palais de Berengo fut le centre du pouvoir centrafricain de 1976 à 1979.
Cuisine
Plat local centrafricain
Les Centrafricains consomment beaucoup les plats traditionnels ou plats locaux c'est une alimentation purement bio. Les ingrédients sont les mêmes pour chaque ethnies ou groupes d’ethnies, mais les préparations ou les recettes diffèrent d'une localité à l'autre, d'un peuple à l'autre.
Les spécialités centrafricaines sont diverses manioc, feuilles de manioc et koko (feuilles de gnetum), qui comptent parmi les aliments préférés des Centrafricains. La population locale prise le ngoudja accompagné de gozo (manioc) ou mangbere (bâtons de manioc), beignets de bananes, kanda (mets de pistaches), de capitaine braisé au feu de bois, ngou ti kassa, koko à la viande, chouia (viande de bœuf, de poulet ou de chèvre braisée). Les kindagozo (criquets) et les makongo (chenilles fraîches ou séchées) font également partie des spécialités locales.
Arts
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Musique
Les groupes musicaux Zokela, Formidable Muziki l'artiste Thierry Darlan Yézo, Tropical Fiesta avec les artistes phares comme Charlie Perrière, Aggas Zokoko, Canon Star Champion, Cool Star, de l'artiste Zékétè monon ont eu du succès dans les années 1970 - 1980. Depuis les années 2008, Losseba est un des musiciens les plus écoutés par les Centrafricains pour ses sons et paroles en faveur d'un retour de la paix. Il en est de même pour Idylle Mamba, une artiste féminine évoluant dans une carrière internationale, elle a également contribué pour le retour de la paix en Centrafrique pendant la grande crise de 2013 en collaboration avec l'artiste international sénégalais Youssou N'dour. Sans oublier le rappeur engagé Veyzo du groupe Ngarangba Music, avec des titres très engageants. L’artiste musicien Ozaguin effectue des concerts dans les différentes villes du pays.
Art contemporain et moderne
La Centrafrique compte plusieurs artistes peintres, dont la plupart sont inconnus du grand public du fait du désintéressement d'une grande partie de la population et de la quasi-inexistence de musées et galeries d'art ; les plus chanceux exhibent dans les centres artisanaux ou à l'Alliance française située près du musée Barthélémy Boganda, en rénovation depuis les événements de 2013.
Cinéma
Projection de film à Sibut
Le cinéma centrafricain est un domaine qui était encore méconnu du monde jusqu'en 2017 quand 10 jeunes réalisateurs ont été formés, par les Ateliers Varan de Paris en collaboration avec l'alliance Française de Bangui. De ces 10 réalisateurs sont sortis dix courts-métrages, qui ont fait le tour des festivals dans le monde. 34 jeunes ont été également formés à l'Alliance Française de Bangui par la CinéFabrique aux métiers du cinéma(scénario, production, images, son et montage). À l'issue 8 courts-métrages de fiction ont été réalisés et continuent de faire le tour des festivals dans le monde. Aujourd’hui le cinéma centrafricain prend son essor et donne au monde une autre image de la Centrafrique.
Le cinéma centrafricain commence à faire écho avec des festivals qui sont organisés, dont le but est d'apporter une ouverture aux jeunes cinéastes et cinéphiles en passant par des petites formations, comme des master classes, des échanges avec les professionnels du monde entier. L'un des festivals qui revient depuis trois ans est le réalisé[Quoi ?] avec le soutien du ministère des Arts et de la Culture.
Dans les années 1980, Léonie Yangba Zowe filme en super-8 les danses traditionnelles.
Comédie
Prestation Théâtrale de la Compagnie SEWA THEÂTRE
Appelé communément dans la langue locale qu'est le sango Tongbôndâ ce qui signifie en français comédien, le domaine de la comédie centrafricaine est demeuré à l'état purement culturel et propre à la pratique d'antan. les spectacles se déroulent très souvent dans les rues ou lors des occasions et festivités officielles. Elle attire de nombreux spectateurs. Ces spectacles jouent un rôle non négligeable dans la sensibilisation de masse. Ces scènes de comédies mettent la lumière sur les réalités sociales centrafricaines. La Comédie centrafricaine devrait avoir sa renommée internationales, si elle a su vite se moderniser. Nous pouvons citer quelques artistes comédiens de renommée nationale comme Yéyé Mou Niama, Gbavenu, Docteur Mandjéké, ce dernier a initié un festival dénommé Bangui Rire qui ont vu participer des artistes comédiens de renommée internationale comme Michel Gohou, Digbeu, Nastou, Michel Bohiri, et qui est à son cinquième édition en 2022. Toutefois, cette comédie centrafricaine prend un élan au niveau régional et international avec un groupe de trois comédiens, Les Perroquets de Bangui, une troupe au répertoire humoristique riche mais elle réalise aussi des pièces didactiques pour des institutions. Cette troupe a participé à plusieurs Festivals internationaux et participé à la compétition régionale l'Afrique a un incroyable talent dont elle a été jusqu'à la phase finale de la compétition. Aussi, elle a aussi pris part au Festival mondial de théâtre amateur de Monaco. cette troupe de comédie composée des artistes des noms comme Baba Kpion et autres. Il faut ajouter à cela un autre groupe de théâtre radiophonique populaire dénommé Linga théâtre, produisant des capsules radiophoniques à court métrage quotidiennes sur des sujets d'actualitéavec des artistes Mama Monkonzi, Petit Courageux, Kala, Baba Assibôzô, Ousman et papa Biscuit. il demeure que beaucoup reste à faire dans ce domaine de la culture centrafricaine.
Littérature
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La Centrafrique est le seul pays d'Afrique à être le cadre de deux romans récompensés par un prix Goncourt : Batouala (1921) de René Maran et L'État sauvage (1964) de Georges Conchon.
Le Silence de la forêt d'Étienne Goyémidé (1984), adapté au cinéma en 2003 par Didier Florent Ouénangaré et Bassek Ba Kobhio, raconte l'histoire d'un fonctionnaire centrafricain qui abandonne tout pour faire un voyage en forêt et rencontre des pygmées Babinga.
Une partie du roman Le Vol des cigognes de Jean-Christophe Grangé (1994) se déroule en Centrafrique.
Le roman Les mots étrangers de Vassilis Alexakis (2002), qui narre l'apprentissage par ce dernier de la langue sango, se déroule en partie à Bangui.
Didier Kassaï, Tempête sur Bangui (La Boîte à Bulles, Saint-Avertin, 152 p. (ISBN 978-2-84953-225-6)) est une bande dessinée qui décrit le début des troubles en 2012.
Crépin Mboli-Goumba, Au contre courant des compromissions centrafricaine, livre paru en 2003, puis, Les voix du possible en Afrique: Le cas centrafricain paru en 2004 et La Nation Centrafricaine et les récifs
Clautaire Saulet, Les États Généraux de la Défense Nationale en Centrafrique, Éditions Harmattan 2023.La République centrafricaine : parenthèse Seleka
Pierre Sammy Mackfoy, Les illusions de Mongou, Éditions Harmattan, L'odyssée de Mongou, Éditions Sépia
Notes et références
Notes
Références
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Voir aussi
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Bibliographie
Marie-Christine Lachèse, en coll. avec Bernard Lachèse, De l'Oubangui à la Centrafrique : la construction d'un espace national, L’Harmattan, coll. Histoire Africaine, août 2015, 352 p. (ISBN 978-2-343-05854-2).
(en) Tatiana Carayannis and Louisa Lombard (dir.), Making sense of the Central African Republic, Zed Books, London, 2015, 357 p. (ISBN 978-1-7836-0379-4).
Christophe Châtelot, « Centrafrique : pourquoi intervenir », Le Monde, (lire en ligne).
Filmographie
La République centrafricaine aux marges de l'Afrique, collection « Le Dessous des cartes », film d'Alain Jomier, Arte, ADAV, 2012, 12 min 15 s (DVD)
Centrafrique, l'impossible réconciliation, film documentaire d'Eric Bergeron, Michel Dumont et Isabelle Nommay, Arte, ADAV, 2014, 12 min (DVD)
Articles connexes
Liste des chefs d'État centrafricains
Premier ministre de la République centrafricaine
Droits LGBT en République centrafricaine
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