Université Bourgogne-Europe

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Université Bourgogne-Europe
Logo de l’université Bourgogne-Europe.
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L'université Bourgogne-Europe.
Histoire
Fondation
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Statut
Type
Université en Franceimage
Forme juridique
Établissement public expérimental (EPE)
Nom officiel
UNIVERSITE DIJON BOURGOGNEimage
Président
Vincent Thomas (d) (depuis )image
Membre de
Association des universités européennes, Consortium universitaire de publications numériques Couperin, Réseau national de télécommunications pour la technologie, l'enseignement et la rechercheimage
Site web
www.ube.fr
Chiffres-clés
Étudiants
29 508 ()image
Enseignants-chercheurs
1 519 (2018)
Budget
307 millions
Classement
Rang national
20-22e/85 ARWU (2023)
22e/85 THE (2022)
Rang international
501-600e/1 000 ARWU (2022)
601-800e/1 600 THE (2022)
Localisation
Pays
Franceimage
Campus
Dijon
Auxerre
Chalon-sur-Saône
Le Creusot
Mâcon
Nevers
Carte

L'université Bourgogne-Europe (UBE), anciennement université de Bourgogne (uB, avant le ), est une université française située à Dijon (Côte-d'Or) fondée en 1722. Elle possède également des campus à Auxerre, Chalon-sur-Saône, Le Creusot, Mâcon et Nevers. Elle offre un large éventail de formation dans toutes les disciplines (droit, économie, gestion, lettres, philosophie, langues, médecine, pharmacie, odontologie, sciences humaines, sciences exactes et expérimentales) et à tous les niveaux (licence, master, doctorat, diplômes de technologie, d'ingénieurs, professionnalisés, de santé, d'enseignement et de formation à la recherche). Au total, elle délivre des diplômes sous environ 400 intitulés différents.

Plus de 35 000 étudiants sont accueillis chaque année, près de 5000 d'entre eux sont inscrits en alternance ou en formation continue dont 2 000 salariés ou demandeurs d'emploi. Propriétaire de vignoble et d'un centre d'expérimentation à Marsannay-la-Côte (agglomération dijonnaise), elle offre des filières complètes en sciences de la vigne et œnologie, regroupés dans l'Institut Jules Guyot. L'université de Bourgogne consacre près du tiers[évasif] de son budget (hors salaires) à la recherche.

Dans le classement de Shanghai, l'université de Bourgogne-Europe apparaît parmi les 20 premières universités françaises.

De à 2024, l'université de Bourgogne a été membre fondateur de la communauté d'universités et établissements Université Bourgogne - Franche-Comté (COMUE UBFC), dissoute fin 2024, dont le siège était à Besançon.

Dans le cadre des regroupements universitaires, le 1er janvier 2025, l'université de Bourgogne devient l'université Bourgogne-Europe (UBE), un établissement public expérimental fondé avec 11 autres établissements de l’enseignement supérieur et de la recherche : l’ENSAD Dijon, l’Ecole Supérieure de Musique de Bourgogne-Franche-Comté, l’Ecole Supérieure d’Arts Appliqués de Bourgogne, le CHU Dijon-Bourgogne, le Centre de lutte contre le Cancer CGFL , BSB, ESEO, ESTP, CESI, le Campus dijonnais de Science Po Paris et le CROUS BFC. Ce nouvel ensemble réunit près de 40 000 étudiants et 13 000 personnels (dont 1600 enseignants-chercheurs et chercheurs et 8 500 personnels hospitaliers). Les 12 partenaires cumulent ensemble plus d’1,3 milliards € de budget annuel.

Histoire

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Les écoles médiévales

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Les écoles publiques de Dijon jouissent au Moyen Âge d'une grande réputation. La création pour les deux Bourgogne (comté et duché) de l'université de Dole, en 1422, leur porte gravement atteinte car elles se voient privées d'étudiants et surtout des étrangers.

À la demande du maire et des échevins, appuyés par Georges de la Trémoille, gouverneur de la province de Bourgogne et son défenseur contre les Suisses en 1513, François Ier (1515-1547) institue à Dijon une université avec quatre facultés en 1516 mais cette décision reste lettre morte, même si les patentes royales sont très flatteuses pour les Dijonnais.

Le Collège des Martinots ou des Martin (1531), dans l'actuelle rue du Vieux-Collège, puis le collège jésuite des Godrans, fondé en 1581 en exécution du testament d'Odinet Godrans, président du Parlement de Bourgogne, tentent avec plus ou moins de succès de pallier cette situation. Le transfert de l'université de Dole à Besançon en 1691 incite les États de Bourgogne à solliciter du roi de France la création à Dijon d'une université. Les deux villes deviennent alors rivales. Sous l'influence du Prince de Condé, gouverneur de Bourgogne, Louis XV accorde à Dijon une université avec quatre facultés le . Besançon réplique par une véritable coalition avec l'université de Paris et plusieurs universités provinciales[Lesquelles ?]. Le roi hésite et fait un compromis.[Lequel ?]

L'université moderne

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Armoiries concédées à l'université par lettres du 20 septembre 1723.

L'édit de ne crée donc plus qu'une faculté de droit (civil, canon et français) confirmée par une bulle d'Innocent XIII en 1723. L'université, soutenue financièrement par la Ville et la Province s'installe au couvent des Jacobins (à l'emplacement actuel des halles centrales) et se voit inaugurée en grande pompe le . Le Parlement tout entier vient assister à la séance de rentrée qui accueille les 117 étudiants de la nouvelle faculté. Le premier président Berbisey ouvre le cortège, entouré des neuf présidents avec leurs manteaux d'hermine et leurs mortiers, des chevaliers d'honneur, de soixante-quatre conseillers et de cinq conseillers clercs en grand costume ecclésiastique.

Les cinq professeurs et les trois agrégés exercent aussi leur profession d'avocat et enseignent à des étudiants dont l'effectif atteindra jusqu'à 209 étudiants en 1773. Le futur Président de Brosses, Guyton de Morveau, Cazotte ou Berlier en font partie.

L'université tient donc ses écoles et ses assemblées dans le couvent des Jacobins qui offre un abri fort convenable bien qu'emprunté. Celui-ci sera démoli en 1874 en même temps que la vaste église à laquelle il tient pour faire place aux Halles du marché couvert. Il n'en reste plus aucun vestige. L'Académie des sciences, arts et belles-lettres y tient aussi des cours publics et organise des démonstrations de botanique, de chimie et de matière médicale.

La tourmente révolutionnaire emporte avec elle l'université de Dijon, en même temps que l'Académie des sciences, arts et belles-lettres : de 1788 à 1792, date de sa fermeture, le nombre d'étudiants passe de 181 à 18.

L'université de Dijon au XIXe siècle

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Lorsque Napoléon entreprend de réorganiser l'enseignement, Dijon devient le siège d'une école spéciale de droit. Le nouvel établissement s'installe au Collège des Godrans 1806 et devient faculté de droit par décret du . La faculté de lettres est créée la même année et la faculté des sciences ouvre en 1809. Dans le même temps est ouverte une école secondaire de médecine et de pharmacie.

Parmi les nombreux bâtiments confisqués à Dijon lors de la Révolution, une aile de l'ancien collège des Godrans autrefois bâti par les Jésuites est occupée, au rez-de-chaussée seulement, par l'école de droit qui commence ses cours en 1805. La faculté des sciences, celle des lettres et le Rectorat doivent investir une partie de l'Hôtel Despringles, déjà occupé par l'Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres. Cette situation durera plus de trente ans. L'Académie doit ensuite quitter les locaux. L'école secondaire de médecine et de pharmacie se trouve, quant à elle, dans un pavillon qui est construit pour elle à l'hôpital général. En 1888, l'Association Générale des Étudiants de Dijon est créée. Il s'agit de la première association étudiante dijonnaise.

L'université de Dijon au tournant du XXe siècle

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Bâtiment de l'université dans la rue Chabot-Charny et la Cité universitaire de la résidence Maret.

L'université de Dijon connaît un certain essor avec le début du XXe siècle : l'année 1902 voit la création de l'Institut agronomique et œnologique de Bourgogne, de l'Institut de géographie et de l'Institut de langues vivantes. Une bibliothèque universitaire est érigée à l'angle de la rue du Petit-Potet et de la rue Chabot-Charny, bientôt suivie dans sa continuité par la construction de la faculté de Lettre qui s'étend jusqu'à l'angle de la rue de l'école de droit, en lieu et place de l'immeuble Koch, ancienne « Maison du Singe », qui avait abrité la Chambre de la ville de 1350 à 1501. En 1903, Dijon est avec 792 étudiants la deuxième ville universitaire de France.

En 1922 sont organisés les célébrations du bicentenaire de l'université en présence du Président de la République, Alexandre Millerand, pour mettre en échec un premier plan de suppression de l'université. Le développement de l'université se poursuit avec les constructions successives en 1923 et 1924 de la Cité universitaire, du restaurant universitaire, des salles de travail, etc. dans l'ancien séminaire désaffecté rue du Dr Maret. Le CROUS est créé en 1936.

L'université contemporaine

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Bâtiment Sciences Gabriel.

En 1945, la direction de l'enseignement supérieur projette de supprimer l'université de Dijon et d'envoyer les 950 étudiants à Paris, Lyon et Besançon. Le projet n'aboutit pas, et en 1946, Marcel Bouchard est nommé recteur de l'académie de Dijon et choisit de bâtir la nouvelle faculté des sciences sur la pente de la colline de Montmuzard, et en 11 ans, la nouvelle faculté sort de terre :

  • 6 janvier 1953 : sous la direction des architectes Gaston Paris puis Roger Barade, les fondations de la future Faculté des Sciences (bâtiment « Sciences Gabriel ») sont enfin creusées et le nouveau bâtiment de la faculté des sciences est inauguré le 12 octobre 1957 par le Ministre de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports, René Billières.
  • 9 septembre 1959 : ouverture des premiers pavillons Bossuet et Lamartine qui logent les étudiants.
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Bâtiment de la bibliothèque universitaire de sciences Cortex
  • 6 octobre 1962 : inauguration de la bibliothèque universitaire, la faculté de droit et la chaufferie.
  • 9 octobre 1965 : la faculté de lettres est inaugurée (bâtiments droit-lettres).
  • 9 septembre 1967 : le décret 67-761 publié au Journal Officiel transforme l'école de médecine et de pharmacie en faculté de médecine et de pharmacie.
  • 1968 : la faculté de médecine et de pharmacie rejoint l'Hôpital du Bocage ouvert en 1962.

De 1957 à 1968, l'université passe de 2 700 à 9 400 étudiants, puis 17 000 à la fin des années 70 et 26 000 à la fin des années 80. Pour les accueillir, de nouveaux bâtiments sont construits :

  • 1969 : construction des amphithéâtres Aristote et Platon.
  • 1971 : construction de l'IUT.
  • 1974 : installation de l'INRA rue Sully.
  • 1983 : construction de l'atheneum, salle de spectacle et cœur culturel du Campus.
  • 1984 : changement de nom, l'université de Dijon devient Université de Bourgogne.
  • 1990 : adoption du schéma directeur conçu par les architectes bâlois Herzog et De Meuron avec l'artiste Rémy Zaugg, qui permettra d'urbaniser le campus et d'engager le plan « Université 2000 ».
  • 1991 : inauguration de la Maison des Sports, inauguration du centre universitaire Condorcet au Creusot.
  • 1992 : inauguration de l'amphithéâtre Gutenberg.
  • 1994 : inauguration de l'extension « le petit Beaubourg » du bâtiment droit-lettres, sciences-humaines.
  • 1995 : inauguration de l'Institut Universitaire de la Vigne et du Vin Jules Guyot (IUVV).
  • 26 juin 1997 : l'amphithéâtre Galilée (similaire à l'amphi Gutenberg inauguré en 1992), le pôle d'économie et de gestion, et la Maison de l'université sont inaugurés.
  • 1998 : création du Centre Européen des Sciences du Goût (CESG).
  • 2003 : inauguration du pôle Acquisition, Apprentissage, Formation et Éducation (AAFE).
  • 2005 : inauguration de la Maison de l'Étudiant.
  • 2011 : inauguration de la Maison des Sciences de l'Homme.
  • 2025 : transformation de l'université en " Établissement Public Expérimental" (EPE) ; l'université change à nouveau de nom pour devenir "Université Bourgogne Europe".
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La Maison de l'université.
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Bâtiment de droit, lettres, langues, économie, gestion et science politique.

Aujourd'hui (automne 2025), le campus de Montmuzard s'étale sur une surface de 150 hectares qui concentre 90 % du potentiel de recherche et d'enseignement de Bourgogne[source insuffisante], le reste se répartissant sur les cinq autres campus de l'université à Auxerre, Chalon-sur-Saône, Le Creusot, Mâcon et Nevers.

Rénovation du campus

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À partir de 2012 et l'arrivée du tramway sur le campus, un vaste chantier de rénovation s'étalant sur plusieurs années est lancé sur le campus. Plusieurs objectifs sont fixés: favoriser la vie étudiante, le développement durable, améliorer l'accès aux personnes à mobilité réduite… Le chantier permet la mise en valeur des œuvres d'art sur le campus, la création d'espaces de convivialité et une véritable cohérence de l'ensemble par la rénovation des voies de circulation pour cycles et piétons sur le campus. 3 700 000  sont mis à disposition pour faire rentrer l'université dans le XXIe siècle.

Esplanande Érasme

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L’esplanade Erasme est une place située au cœur du campus de l'université Bourgogne-Europe de Dijon et nommée d'après le penseur européen Érasme.

Historique

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L'esplanade fait partie intégrante du pôle universitaire avec les différents bâtiments de l'UFR, CHU, INRA, AgroSup, Services CROUS. On compte également l'atheneum, le centre culturel du campus inauguré en 1983.

En 2012, l'esplanade connaît d'importants travaux avec l'arrivée du tramway et de la station Erasme sur la ligne T1.

En 2014, des travaux sont menés pour créer un parc urbain.

Sculptures

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Quatre sculptures ont été réalisées dans le cadre du 1 % artistique dans la seconde partie des années 1970.

  • Tente de Yaacov Agam, 1974
  • Hommage à Jacques Monod de Gottfried Honegger, 1974
  • Anti Robot de Karel Appel, 1976
  • Divionis Mechanica Fossilia de Arman, 1976

Ces statues font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 5 août 2020,.

Puis dans les années 1990, de nouvelles œuvres ont été installées:

  • Méandre de Julije Knifer, 1990
  • Improvisation Tellem de Alain Kirili, 1999
  • Welcome de Stephen Antonakos, 1999.

Historique des présidents

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Liste des présidents successifs de l'Université de Bourgogne/Université Bourgogne Europe depuis 1946, :

Présidentsimage
IdentitéPériodeDurée
DébutFin
Marcel Bouchard (d)
( - )
21 ans
Françoise Moret-Bailly
(née en )
2 ans
Pierre Feuillée (d)
( - )
5 ans
Jacques Vaudiaux (d),
( - )
5 ans
Roger Paris (d)5 ans
Gilles Bertrand (d)
(né en )
5 ans
Jocelyne Pérard
(née en )
5 ans
Bernard Laurin (d)
(né en )
5 ans
Jean-Claude Fortier (d)
(né en )
4 ans
Sophie Béjean
(née en )
5 ans
Alain Bonnin (d)
(né en )
7 ans et 8 mois
Vincent Thomas (d)
(né en )
En cours5 ans et 8 mois

Composantes

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Unités de formation et de recherche

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L'université compte huit UFR :

  • Droit et Sciences Economique et Politique ;
  • Langues et Communication ;
  • Lettres et Philosophie ;
  • Sciences de Santé ;
  • Sciences du Sport (STAPS) ;
  • Sciences et Techniques ;
  • Sciences Humaines ;
  • Sciences Vie, Terre et Environnement.

Écoles

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Deux des composantes de l'université ont le statut d'école :

  • École polytechnique universitaire de Bourgogne ;
  • Institut national supérieur du professorat et de l'éducation (INSPE) de Bourgogne.

Instituts

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L'université compte six instituts d'enseignement :

  • Institut d'administration des entreprises (IAE) ;
  • Institut de la vigne et du vin Jules Guyot (IUVV) ;
  • Institut supérieur de l'automobile et des transports (ISAT) ;
  • Institut universitaire de technologie de Dijon-Auxerre-Nevers ;
  • Institut universitaire de technologie de Chalon-sur-Saône ;
  • Institut universitaire de technologie du Creusot.

L'université compte également six écoles doctorales et 28 laboratoires et entités de recherche.

Services communs

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  • Éditions universitaires de Dijon
  • Bibliothèques universitaires

Formation et recherche

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Enseignement

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L'université propose près de 400 formations diplômantes :

  • 26 licences générales ;
  • 132 masters ;
  • 32 disciplines doctorat ;
  • 15 DUT ;
  • 60 diplômes universitaires ;
  • 90 diplômes et spécialisations santé.

Elle accueille dans ses effectifs en 2019, 1 854 étudiants en formation continue et plus de 750 en formation à distance.

Relations internationales

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Partenariats internationaux

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L'université Bourgogne Europe proposd plus de 300 partenariats avec des universités internationales, permettant la mobilité de ses étudiants, enseignants, chercheurs et personnels administratifs partout dans le monde, ainsi que l'accueil de 2 783 étudiants internationaux de 120 nationalités différentes. Elle propose également des cursus intégrés (double ou triple diplôme) en langues, sciences humaines, droit, soutenus par l'Université franco-allemande, avec l'université Johannes Gutenberg de Mayence, mais aussi un triple diplome en études européenne avec la participation de l'Opole (Pologne).

Université européenne

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En , l'université est avec 14 autres universités françaises l'une des lauréates du premier appel à projets « Universités européennes » de la Commission européenne. Réunies au sein de l'alliance « FORTHEM », les universités de Dijon, Palerme (Italie), Jyväskylä (Finlande), Opole (Pologne), Valence (Espagne), Mayence (Allemagne) et Riga (Lettonie), font partie d'une des premières 17 universités européennes retenues par la Commission (sur 54 dossiers de candidatures déposés). Les universités d' Agder (Norvège) et de Sibiu (Roumanie) ont rejoint l'Alliance européenne FORTHEM, d'abord en tant que partenaires associés en 2021, puis membres à part entière dès 2022.

Classements internationaux

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L'université Bourgogne Europe figure depuis 2017 au classement des meilleurs universités mondiales réalisé par l'université Jiao Tong de Shanghai (Academic Ranking of World Universities) qui recense près de 18 000 établissements dans le monde. Classée entre la 501e et 600e places de 2020 à 2023, puis entre la 701 et 800ème places, elle remonte dans la tranche 601-700ème place en 2025 et est classée à la 20ème place au plan national.

En 2025, Webometrics positionne l’Université Bourgogne Europe au 17ème rang national et à la 564ème place mondiale.

A ce jour, 68 chercheurs de l'université Bourgogne Europe sont recensés dans le classement de Stanford comme faisant partie des 2 % des chercheurs les plus rayonnants sur le plan mondial. 24 d'entre eux travaillent dans le domaine « Aliment et environnement », six dans le domaine « Apprentissage et santé », 10 dans le domaine « Photonique et matériaux avancés », 27 dans le domaine « Santé (Health) et ingénierie moléculaire » et un dans le domaine « vigne et vin ».

Collections

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Vie étudiante

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Logement, restauration

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Un des trois restaurants universitaires du CROUS de Dijon.

L'université met à disposition de ses étudiants avec le CROUS 4 100 places de logements, trois restaurants universitaires et cinq cafétérias réparties sur le campus.

Vie associative et culturelle

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Façade (détail) de la bibliothèque Droit-Lettres du campus de Dijon.

Plus de 140 associations étudiantes allant d'un club d'échec (CUBE) à un atelier broderie animent le campus. Plus globalement 235 événements culturels sont proposés au centre culturel. L'Atheneum, à proximité de la bibliothèque universitaire Droit-Lettres propose chaque année environ 200 concerts et spectacles dans sa salle ou sur son parvis. Radio Dijon Campus, une des plus anciennes radios étudiantes de France, a ses locaux à cet endroit. Elle émet depuis 1982 sur la fréquence de 92.2 FM.

Vie syndicale

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Le campus dispose également d'une vie syndicale très dense, avec la présence de nombreuses organisations (l'UNEF, la FEBIA, l'UNI, l'Aube...). Jusqu'en 2018, Génération Campus et sa liste associative « Associatifs & Indépendants » sont majoritaires dans les instances universitaires. A partir de 2020, c'est la toute jeune fédération étudiante FEBIA, Fédération Étudiante de Bourgogne Inter-Associative, et sa liste « Bouge Ton Campus » qui prend le relais en remportant les élections mettant en avant son souhait de "renouveler le projet fédératif local".

La fédération se fera notamment remarquer durant la crise du COVID en participant activement aux opérations de coordination à l'aide alimentaire dans le département de Côte d'Or par la création d'une épicerie sociale et solidaire,, aux côtés de la Croix-Rouge Française mais aussi en opérant des distributions alimentaires dans les autres villes universitaires du territoire comme à Auxerre avec l'ESA ou à Nevers. Les élus étudiants soutenus par la fédération obtiennent notamment en 2025 la mise en place d'une dispense menstruelle permettant aux personnes menstruées de bénéficier jusqu'à 11 jours d'absence par an sans avoir besoin d'un certificat médical.

L'UNEF participe également à cette dynamique en proposant des distributions alimentaires ponctuelles, des ciné débats et autres évènements culturelles et militants,.

Sport

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50 disciplines sportives sont proposées, gratuitement pour la plupart, aux étudiants par l'intermédiaire du SUAPS (Service universitaire des activités physiques et sportives). Plusieurs équipements sportifs sont à ce titre directement disponibles sur le campus, autour de la Maison des sports, à proximité de l'arrêt de tramway « Université » :

  • terrains de beach-volley, de tennis, de football, de rugby, de baseball ;
  • stade d'athlétisme Colette Besson ;
  • un gymnase ;
  • salle de danse/salle de combat ;
  • salle de musculation.

Santé

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Le service de médecine préventive accueille les étudiants sur le campus pour des questions médicales, et une mission handicap accompagne 594 étudiants.

Évolution démographique

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Évolution démographique de la population universitaire

1723 1773 1788 1792 1875 1895 1909 1910
117209181181195211 0371 092
1957 1968 1972 2000 2001 2002 2003 2004
2 7009 40012 00024 94824 40324 44224 95225 649
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2017
26 17026 16725 46326 87826 89726 11826 55129 695
2018 2019 - - - - - -
30 91734 169------

Durant l'année universitaire 2019/2020, l'université a accueilli 34 169 étudiants dont 30 315 sur le seul campus de Dijon. La barre des 35 000 étudiants a été franchie en 2020. Au 1er janvier 2024, le nombre des inscrits s'élevait à 33 242, accusant une baisse de 0,23% par rapport à l'année précédente.

Personnalités liées à l'université

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(Classement effectué en ordre croissant d'années de naissance)

Enseignants

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  • Charles Aubertin (1825-1908), professeur de littérature, recteur ;
  • Louis Renault (1843-1918), étudiant à l'université, puis juriste, lauréat du prix Nobel de la paix en 1907 ;
  • André Weiss (1858-1928), juriste ;
  • Lucien Febvre (1878-1956), historien, cofondateur de l'école des Annales ;
  • Gaston Bachelard (1884-1962), philosophe, membre de l'Académie des sciences morales et politiques ;
  • Georges Connes (1890-1974), maître de conférence puis Pr de littérature anglaise, résistant et maire de Dijon ;
  • Joël Le Gall (1913-1991), historien et archéologue, Pr d'histoire romaine, directeur des fouilles d'Alésia ;
  • André Leguai (1923-2000), historien du Moyen Âge ;
  • Max Milner (1923-2008), critique littéraire, professeur à la Faculté des lettres ;
  • Gérard Taverdet (1938-), Pr émérite prix Albert-Dauzat dialectologie et onomastique ;
  • Paule-Marie Carli (1939-), hématologue et Pr honoraire en hématologie ;
  • Jean Gayon (1949-2018), philosophe, spécialisé en philosophie de la biologie, philosophie et histoire des sciences et en épistémologie ;
  • Marie Duru-Bellat (1950-), sociologue spécialiste de l'éducation et de l'enseignement supérieur ;
  • Bernard de Montmorillon (1950-), président de l'université Paris-Dauphine ;
  • Jean-Cyrille Hierso (1971-), chercheur et enseignant chimiste ;
  • Aurélie Trouvé (1979-), coprésidente de ATTAC.

Étudiants

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  • Georges-Louis Leclerc de Buffon (1707-1788), naturaliste ;
  • Michel Petit (1769 - env. 1830), avocat puis Juge à Chaumont, Chevalier de la Légion d'Honneur
  • Arthur Kleinclausz (1869-1947), médiéviste français, spécialiste de la période carolingienne ;
  • Edvard Beneš (1884-1948), président de République tchécoslovaque (1935-1938; 1939-1945; 1945-1948) ;
  • Mahmoud El Materi (1897-1972), ministre tunisien de la Santé ;
  • Jean Mairey (1907-1982), résistant et haut fonctionnaire français ;
  • Roger Guillemin (1924-2024), prix Nobel de physiologie ou médecine en 1977 ;
  • Abdoulaye Wade (1926-), président du Sénégal (2000-2012) ;
  • Jacques Blondel (1936-), écologue et biologiste ;
  • Guy Canivet (1943-), premier président honoraire de la Cour de cassation, membre du Conseil constitutionnel ;
  • Alain Colas (1943-1978), navigateur ;
  • Henri-François Gautrin (1943-), ministre québécois ;
  • Igor et Grichka Bogdanoff (1949-2022) ;
  • Pierre Frogier (1950-), président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie de 2001 à 2004 ;
  • Gérard Courant (1951-), cinéaste français, inventeur de Cinématon ;
  • Frédéric Tissot (1951-), médecin, humanitaire et diplomate français (il est notamment le premier consul de France au Kurdistan irakien de 2007 à 2012) ;
  • Antanas Mockus (1952-), maire de Bogota 1995-1998 et 2001-2003, président de l'Alliance verte (Parti écologiste de Colombie) de 2010 à 2014 ;
  • Alain Joyandet (1954-), ancien secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie, député et sénateur de la Haute-Saône, maire de Vesoul ;
  • Roch Marc Christian Kaboré (1957-), président du Burkina Faso ;
  • Arnaud Montebourg (1962-), ministre de l'économie (2012-2014), président du conseil général de Saône-et-Loire (2008-2012) et député de ce même département (1997-2012) ;
  • Aminata Touré (1962-), première ministre du Sénégal ;
  • Rachida Dati (1965-), ministre de la Justice (2007-2009), députée européenne (2009-2019), ministre de la Culture (2023-);
  • Daniel Křetínský (1975-), milliardaire tchèque, ayant fait fortune dans les énergies fossiles ;
  • Charles Rozoy (1987-), nageur handisport et champion olympique de natation en 2012.

Identité visuelle

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Notes et références

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Notes

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  1. Le recteur d'académie, nommé par gouvernement, est aussi chancelier de l’université.
  2. Situé au 4 boulevard Gabriel.

Références

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