Michel Ciment

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Michel Ciment
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Michel Ciment en 2010.
Fonctions
Président d'honneur (d)
Fédération internationale de la presse cinématographique
Président d'honneur (d)
Syndicat français de la critique de cinéma
Biographie
Naissance
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1er arrondissement de Parisimage
Décès
image (à 85 ans)
14e arrondissement de Parisimage
Sépulture
Cimetière parisien de Pantin (depuis le )image
Nom de naissance
Michel Jean Cimentimage
Nationalité
françaiseimage
Formation
Activités
Producteur de radio, producteur de cinéma, scénariste de cinéma, acteur, animateur de radio, journaliste, critique de cinéma, scénariste de télévisionimage
Période d'activité
À partir des années 1960image
Enfant
Gilles Cimentimage
Parentèle
Ulysse Ciment (petit-fils en lignée masculine)image
Autres informations
A travaillé pour
Radio France
Le Monde
France Inter
L'Expressimage
Distinctions
Chevalier de la Légion d'honneur‎
Chevalier de l'ordre national du Mérite
Officier des Arts et des Lettres‎image

Michel Ciment, né Michel Cziment le à Paris 1er et mort le à Paris 14e, est un écrivain, universitaire, critique de cinéma, journaliste et producteur de radio français.

Maître de conférences en civilisation américaine à l'université Paris VII-Denis-Diderot, directeur de publication de la revue Positif et chroniqueur dans l’émission de France Inter Le Masque et la Plume pendant plus de cinquante ans ainsi que producteur de l'émission Projection privée à France Culture de 1990 à 2016, il est l'auteur de nombreux livres sur le cinéma.

Biographie

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Origines et jeunesse

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Né dans le 1er arrondissement de Paris le , Michel Ciment est le fils d'Alexander Cziment, un juif hongrois ayant rejoint la France dans les années 1920 pour fuir le fascisme de son pays natal. Sa mère, Hélène, ne révèle à son fils sa judéité qu’à l’âge de 95 ans. La famille doit se cacher pendant la guerre et échappe de peu à la rafle du Vel d'Hiv grâce à un policier qui les prévient la veille. Alexander Cziment se réfugie en Normandie, où il est caché par des paysans jusqu'à la fin de la guerre. Michel Cziment rejoint son père en Normandie, et sa mère fait des allers-retours à Paris. Après la guerre, leur patronyme est francisé de Cziment en Ciment, à son grand regret car il lui vaudra de nombreux quolibets et jeux de mots.

Son père, un artisan couturier spécialiste du plissé, travaillant pour des grandes maisons de la mode parisienne, est un homme aimé, mais un joueur invétéré, taciturne et inaccessible. Sa mère, petite main dans l’entreprise familiale, est une femme rayonnante qui lui fait découvrir la littérature, la peinture et le théâtre et l'emmène régulièrement au cinéma.

Dès l'âge de huit ans, il découvre les films américains dans des cinémas populaires de Paris comme le Buffault, le Roxy ou le Helder et prend des notes dans des cahiers. Vers l'âge de quinze ans, il découvre d'autres styles de cinéma comme celui de Ford ou de Walsh, de Tati, Fellini, Bergman, Bresson, Antonioni.

Formation

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Il étudie au lycée Condorcet où il a comme professeur Paul Bénichou, puis en hypokhâgne à Louis-Le-Grand où Gilles Deleuze est son professeur de philosophie. Il fréquente la Cinémathèque française et commence à lire les Cahiers du cinéma en 1955 et Positif en 1956.

Il poursuit des études à la Sorbonne, puis obtient en 1958 une bourse Fulbright, qui lui permet d'aller étudier aux États-Unis où une partie de sa famille paternelle s'est installée après avoir quitté la Hongrie,. Il intègre là-bas le Amherst College, dans le Massachusetts. Il découvre et apprécie l’ouverture d’esprit et la proximité avec les enseignants qui règnent dans les établissements d'enseignement américain. Sa pratique de l'anglais et sa connaissance de l'histoire américaine apporteront une dimension internationale à sa carrière.

Révolté et « très politisé », engagé contre la guerre d'Algérie, il se décrit comme étant plutôt de « gauche libertaire plus proche des surréalistes » que du parti communiste.

Débuts

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Michel Ciment s'intéresse très tôt au cinéma. Initié également par sa mère, il découvre des films plus exigeants et la cinémathèque de la rue d’Ulm. Une passion pour le cinéma émerge qui, conjuguée à celle de la littérature, le pousse à écrire sur le cinéma, à l'image des critiques de l’époque tels Roger Tailleur ou Robert Benayoun, chez qui il retrouve cet intérêt pour le surréalisme. Il écrit ses premiers textes dans une petite revue étudiante nommée CinémaTexte.

En 1963, alors qu'il est enseignant d'anglais dans un lycée de Suresnes, il fait parvenir un texte consacré au film d'Orson Welles Le Procès au comité de rédaction de la revue Positif qui publie son article,. Trois ans plus tard, il rejoint l'équipe et devient, de fait, le directeur de publication, bien que la revue de gauche, créée en 1952 et d'influence surréaliste, n'ait jamais vraiment eu de hiérarchie.

Carrière

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En 1970, sur invitation de François-Régis Bastide, il rejoint les critiques Georges Charensol et Jean-Louis Bory dans l'émission radiophonique Le Masque et la Plume, dont il reste membre jusqu'à son décès (il y est intervenu pour la dernière fois fin septembre 2023 pour défendre Le Grand Chariot de Philippe Garrel et Acide de Just Philippot).

En 1973, il publie son premier livre, Kazan par Kazan, dans lequel il s'entretient avec le cinéaste. Sur le même modèle suivront des livres consacrés à Francesco Rosi, Joseph Losey, Jane Campion et, en particulier, Stanley Kubrick dont Michel Ciment est l'un des principaux exégètes. Son livre Kubrick, publié en français en 1980 avec une nouvelle édition en 2011, est traduit et publié dans plusieurs langues.

En 1968, il devient enseignant en cinéma et civilisation américaine à l’Université de Vincennes, puis à Paris VII où il exerce comme maître de conférences pendant une trentaine d'années.

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André Lange, Kirill Razlogov, Antonin Liehm et Michel Ciment lors du Festival des films interdits de Moscou, en .

Au début des années 1990, tout en continuant son travail à Positif, il lance une nouvelle émission radiophonique, Projection privée, à France Culture, dans laquelle, de 1990 à 2016, il reçoit un ou plusieurs invités venus discuter autour d'un thème inspiré par l'actualité cinématographique.

En 1994, il reçoit à Cannes le premier prix Maurice Bessy, qui récompense « une personnalité exerçant son activité ou son talent dans les domaines de l’écriture cinématographique. »

Adhérent du Syndicat français de la critique de cinéma (SFCC), il en est membre du conseil d’administration, président, puis président d’honneur, sélectionneur de la Semaine de la critique et membre de son jury littéraire.

Il est président, puis président honoraire de la Fédération internationale des critiques de film (FIPRESCI) et membre du jury dans plusieurs festivals de films comme le Festival de Cannes, le Festival du film de Venise, la Berlinale, le Festival du film de Taormine, de Londres, Locarno et Singapour.

En 1999, il crée avec Simone Lainé et Jacques Daumas les Rencontres des cinémas d'Europe à Aubenas, en Ardèche. Il en est le directeur artistique de 1999 à 2006 et fait venir des personnalités comme Francesco Rosi, John Boorman, Mike Leigh, Stephen Frears, Michel Audiard, Alain Corneau ou Ettore Scola.

En 2011, la Cinémathèque française présente une exposition dédiée à Kubrick. C'est l'occasion pour France Culture de proposer Stanley Kubrick, mon expérience du cinéma, une série en cinq épisodes d'entretiens de Michel Ciment avec le réalisateur.

De 2012 jusqu'à sa mort, il fait partie du groupe d’experts du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) chargé de l'examen des projets de numérisation et de restauration du patrimoine cinématographique français.

Mort

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Il meurt le , à Paris à l'âge de 85 ans des suites d'une longue maladie. Ses obsèques se tiennent le au cimetière parisien de Pantin (division 137).

Famille

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Il est le père de Gilles Ciment et le grand-père d'Ulysse Ciment.

Décorations

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  • image Chevalier de la Légion d'honneur
  • image Chevalier de l'ordre national du Mérite
  • image Officier de l'ordre des Arts et des Lettres

Prise de position sur la critique

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Michel Ciment à la maison de la culture d'Amiens (2007).

Michel Ciment considère la critique de film comme un genre littéraire. Dans ses essais cinématographiques, il fait fréquemment référence aux autres arts comme la peinture, la littérature, le théâtre ou la musique qui ont pu inspirer les cinéastes.

Souvent appelé « le pape de la critique cinématographique en France », un qualificatif qui lui déplaît, il est réputé pour avoir la dent dure notamment à l’encontre des critiques des Cahiers du cinéma, son ennemi historique, et s'inquiète des deux dangers qui menacent selon lui la critique : le populisme et l’élitisme. Dans les années 1990 (notamment en 1997), il exprime à plusieurs reprises son inquiétude au sujet de l'impact sur le cinéma français de ce qu'il a appelé le « triangle des Bermudes » de la critique cinématographique, à savoir les Cahiers du cinéma, Le Monde et Libération (auxquels il ajoutera Les Inrockuptibles). Sa critique a pour cibles une certaine doxa et une uniformisation des opinions à la suite de l'essaimage d'anciens collaborateurs des Cahiers.

Publications

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Ouvrages

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  • Kazan par Kazan, Paris, Calmann-Lévy, 1973
  • Le Dossier Rosi, Paris, 1976
  • Le Livre de Losey, Paris, 1979
  • Kubrick, Paris, Calmann-Lévy, 1980, 1987 et 1999
  • Les Conquérants d'un nouveau monde, essais sur le cinéma américain, Paris, 1981 ; éd. revue et augmentée avec une préface d'Emmanuel Carrère, Paris, Gallimard, coll. « Folio essais », 2015
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Thierry Frémaux, Michel Ciment, Costa-Gavras, Jerry Schatzberg et le traducteur de ce dernier, présentant Panique à Needle Park à la Cinémathèque française, en .
  • Schatzberg, de la photo au cinéma, Paris, 1982
  • Boorman : un visionnaire en son temps, Paris, 1985
  • Theo Angelopoulos, Paris, 1989
  • Le Crime à l'écran : une histoire de l'Amérique, Paris, Gallimard, coll. « Découvertes Gallimard/Arts » (no 139), 1992
  • Passeport pour Hollywood : entretiens avec Wilder, Huston, Mankiewicz, Polanski, Forman & Wenders, Paris, Carlotta, 1992
  • Joseph Losey : l'œil du Maître, textes réunis et présentés par Michel Ciment, Institut Lumière/Actes Sud, 1994
  • Fritz Lang : le meurtre et la loi, Paris, Gallimard, coll. « Découvertes Gallimard/Arts » (no 442), 2003
  • Petite planète cinématographique, Paris, Stock, 2003
  • Jane Campion par Jane Campion, Paris, Cahiers du cinéma, 2014
  • Une Renaissance américaine, entretiens avec 30 cinéastes, Paris, 2014
  • Le Cinéma en partage, entretiens avec N.T. Binh, Paris, Rivages, 2014
  • Une vie de cinéma, Paris, Gallimard, 2019 (mémoires)
  • Boorman, un visionnaire en son temps, Paris, Marest éditeur, 2019
  • Go West, Paris, Magnani, 2024

Revues de cinéma

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  • Positif
  • Le Monde
  • L'Express
  • Le Point
  • Le Matin de Paris
  • Globe
  • Sight & Sound
  • American Film
  • Nuestro ciné
  • Filmkultura

Filmographie

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Long métrage (acteur)

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  • 1983 : Surexposé de James Toback : un diplomate

Documentaires

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  • 1979 : Portrait d'un homme à 60 % parfait : Billy Wilder d'Annie Tresgot : lui-même
  • 1982 : Elia Kazan Outsider d'Annie Tresgot : lui-même
  • 1987 : Francesco Rosi : Chronique d'un film annoncé de Christine Lipinska : lui-même
  • 2011 : Il était une fois… Orange mécanique d'Antoine de Gaudemar (co-réalisateur)

Radio

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Distinctions et hommages

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Prix

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  • Prix littéraire du Syndicat français de la critique de cinéma :
    • 1977 : Le Dossier Rosi
    • 1985 : Boorman : un visionnaire en son temps
    • 2014 : Jane Campion par Jane Campion
  • 1994 : Prix Maurice-Bessy
  • 2016 : Prix Bernard-Chardère

Autres

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  • Président d'honneur de la FIPRESCI et du Syndicat français de la critique de cinéma (SFCC)

Hommages post mortem

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L’annonce de son décès suscite de nombreux hommages. Des institutions, des confrères et des personnalités du cinéma du monde entier saluent sa carrière, son amour du cinéma et son immense culture.

À Lyon, où le Festival Lumière venait de célébrer les soixante ans d'écriture critique de Michel Ciment par une lecture publique de ses textes, Thierry Frémaux, directeur de l’Institut Lumière, salue le journaliste et essayiste qui fut l’interlocuteur français des plus grands, notamment Stanley Kubrick, dont il était l'un des très rares critiques à qui le cinéaste s'était confié longuement.

Prix Michel Ciment

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En 2023, le prix du meilleur livre français sur le cinéma, décerné par le Syndicat français de la critique de cinéma, est renommé prix Michel Ciment en hommage à celui qui fut président d'honneur du syndicat. Le CNC est associé avec le SFCC pour financer le prix, offrant une dotation de 3 000  à l'auteur primé et 2 000  à son éditeur.

Notes et références

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  1. Relevé des fichiers de l'Insee.
  2. a b et c« Michel Ciment, critique de cinéma, est mort à l’âge de 85 ans », Le Monde du .
  3. a b et cVéronique Cauhapé, « La mort de Michel Ciment, « le plus raffiné, le plus érudit, le moins blasé » des critiques de cinéma », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. a b c d e et fSérie « Michel Ciment, une vie en ciné-textes » ; épisode 1 « Naissance d'une passion », France Culture, À voix nue par Tewfik Hakem, le .
  5. a et b(en) Adam Nossiter. Michel Ciment, 85, Film Sage Enamored of the Art's History. The New York Times,Tuesday, December 19, 2023, p. A17.
  6. a b et c(en-US) Adam Nossiter, « Michel Ciment, Eminent French Film Critic, Is Dead at 85 », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
  7. a b et cThierry Gandillot, « Michel Ciment, des convictions en béton », Les Echos,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le ).
  8. a et b« Michel Ciment, libre penseur », sur cnc.fr (consulté le ).
  9. a et bAdrien Gombeaud, « Michel Ciment (1938-2023) : le cinéma au-dessus de tout », Les Echos,‎ (lire en ligne).
  10. Jean-Christophe Manuceau, « Michel Ciment | Interview : "Très souvent dans la presse aujourd’hui, on raconte le scénario" », sur Le bleu du miroir | Critiques cinématographiques, (consulté le ).
  11. a et bMichel Winock, « Michel Ciment, ou l'esprit « Positif » », L'Histoire, no 375,‎ (lire en ligne).
  12. Les Inrockuptibles
  13. Samuel Douhaire, « Le critique de cinéma Michel Ciment, pilier de “Positif” et du “Masque et la plume”, est mort », sur telerama.fr, (consulté le ).
  14. Livres-Cinéma.info.
  15. (en) Grégory Valens, « Michel Ciment’s Voice », sur fipresci.org, (consulté le ).
  16. « Hommage de Rima Abdul Malak à Michel Ciment | Ministère de la Culture », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  17. a et bPhilippe Rouyer, « Michel Ciment, les yeux grands ouverts », sur Syndicat de la critique de cinéma (consulté le ).
  18. (en) fipresci, « Michel Ciment, Film Critic, France » (consulté le ).
  19. Isabelle Gonzales, « Aubenas. Passeur du 7e art et créateur des Rencontres, Michel Ciment s’est éteint », sur ledauphine.com, (consulté le ).
  20. Hélène Combis, « Kubrick à la Cinémathèque, l'odyssée d'une filmographie », sur France Culture, (consulté le ).
  21. « Stanley Kubrick, mon expérience du cinéma : un podcast à écouter en ligne », sur France Culture, (consulté le ).
  22. a et b« Mort de Michel Ciment, le critique de référence », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  23. Avis de décès.
  24. « Michel Ciment, critique et historien du cinéma, est mort à 85 ans », sur Le Télégramme, (consulté le ).
  25. Avis de décès
  26. Cimetières de France et d'ailleurs.
  27. a b et cNotice biographique sur IMDb.
  28. À l'occasion de la table ronde autour de l'œuvre de Karel Reisz, avec Betsy Blair et Gilles Laprévotte, lors du 27e festival international du film d'Amiens en .
  29. Eric Jozsef, « À Florence les Français s'attaquent », sur Libération, (consulté le ).
  30. « Les Dossiers de l'écran - La Critique / Interview Michel Ciment », sur archives.ecrannoir.fr (consulté le ).
  31. Robin Vaz, « Le critique Michel Ciment mis à l’honneur par le Festival Lumière », sur lesinrocks.com (consulté le ).
  32. Voir sur actualitte.com.

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Thierry Frémaux, « L'aventure cinéphilique de Positif. 1952-1989 », Vingtième Siècle, no 23,‎ , p. 21-33 (lire en ligne).

Articles connexes

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  • Positif (revue)
  • Le Masque et la Plume
  • Stanley Kubrick
  • Syndicat français de la critique de cinéma et des films de télévision
  • Fédération internationale de la presse cinématographique

Émissions de radio

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  • « Michel Ciment, une vie en ciné-textes », France Culture, À voix nue par Tewfik Hakem, du 22 au , podcast en 5 épisodes de 29 min.
  • Laure Adler, « Cinéphile, Michel Ciment », sur France Inter, L'Heure bleue, , podcast 54 min.
  • Archives de Projection privée, France Culture, podcast, 471 épisodes de 60 min.

Liens externes

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  • Ciné-Ressources
  • Filmportal
  • IMDb
  • Rotten Tomatoes
  • Unifrance
  • Ressources relatives à la rechercheimage :
    • Akadem
    • Canal-U
    • Persée
  • Ressources relatives à la littératureimage :
    • Internet Speculative Fiction Database
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